Les averses incessantes, la circulation dense dans
les rues étroites et en pente nous font rebrousser notre chemin vers le fort
Frederick. On se rabat sur les églises dont celle qui était en ruine lors de
notre dernier passage.
Un peu d’histoire de l’île, pas celle de l’invasion
cubaine mais celle de la rébellion de 1795. Hélas Julien Fedon ne sera jamais parmi les grands
libérateurs des esclaves noirs. La rébellion de ce mulâtre de la Martinique
sera matée par les cruels anglais. Pourtant c’était un bon catholique qui
n’exécuta que 48 des 51 otages qu’il détenait. Mais l’Histoire n’honore que les
vainqueurs.
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