Nous sommes
ancrés au port de Buenos Aires, on ira revoir cette ville que l’on a tant
apprécié il y a deux ans.
On doit prendre un autobus entre le bateau et le terminal, nous zigzaguons entre des milliers de containers, pas vraiment surpris de voir des signes chinois sur ceux identifiés Costco. À la sortie du terminal, qui est une vraie jungle, il ne nous faut que quelques minutes pour reconnaitre les lieux, la tour horloge du parc Saint-Martin pointe devant nous. On passe devant la gare d’autobus et de train de Retiro, nous sommes en territoire connu, mais pour ceux qui ont là leur premier aperçu de Buenos Aires, c’est décevant, presque épeurant, c’est très malpropre. Mais c’est seulement devant ces terminus, plus loin c’est beaucoup mieux.
On pique à travers le parc Saint-Martin et empruntons la Florida, la principale rue marchande et touristique de la ville. Pour un café, des toilettes propres et internet qui fonctionne, rien comme le grand M jaune. Je prends les nouvelles de la journée pendant que Françoise pitonne, à la Une : une dévaluation du peso argentin de 23% en janvier qui entraine une inflation des prix spectaculaire, 20% de plus pour la viande et 50% de plus pour les médicaments. Et pour compliquer la situation, Christina est encore malade, gravement ?
Le cours du peso dans les maisons de cambio est de 8 pour 1 $USD, on obtient 11,8 sur la rue, avec des billets de 50$ ou 100$, le taux atteint 12.
On se dirige vers ce qui sera notre gite à partir du 14 février, un petit dépanneur juste de l’autre côté de la rue sera bien pratique. Pour un Cabernet Sauvignon, «Fond de cave» c’est 6$, il y a des Malbec à 2,60 $ et d’autres vins à peine plus cher que l’eau. La bière Leffe est à 2,30$ la Quillnes à 1,25$ et la grosse bouteille de Stella Artois Noire à 2,45$.
Après 5 heures de marche dans la chaleur et l’humidité, on s’habituera, on revient au bateau pour faire nos valises.
Temps de faire une appréciation des 14 jours sur le Golden Princess. Nous avons vu ses endroits très intéressants que nous n’aurions jamais rejoints autrement. La cabine intérieure convenait parfaitement à nos besoins et pour le trajet effectué une cabine avec vue extérieure n’aurait pas ajouté grand-chose.
La nourriture du buffet du matin et du midi était parfaite, le café imbuvable mais le reste très bien. Les repas du soir allaient de très bien à excellents, nous y avons rencontré des gens intéressants et sympathiques pour la plupart. Les excursions offertes sont très dispendieuses et nous avons préféré prendre de longue marche aux escales visitées.
Les deux points faibles : le personnel de Princess Cruise semble assigné à la vente d’extras, on se croirait sur une plage de la République Dominicaine et le service aux joueurs de bridge pire que nul. Donc une note de B-.
On doit prendre un autobus entre le bateau et le terminal, nous zigzaguons entre des milliers de containers, pas vraiment surpris de voir des signes chinois sur ceux identifiés Costco. À la sortie du terminal, qui est une vraie jungle, il ne nous faut que quelques minutes pour reconnaitre les lieux, la tour horloge du parc Saint-Martin pointe devant nous. On passe devant la gare d’autobus et de train de Retiro, nous sommes en territoire connu, mais pour ceux qui ont là leur premier aperçu de Buenos Aires, c’est décevant, presque épeurant, c’est très malpropre. Mais c’est seulement devant ces terminus, plus loin c’est beaucoup mieux.
On pique à travers le parc Saint-Martin et empruntons la Florida, la principale rue marchande et touristique de la ville. Pour un café, des toilettes propres et internet qui fonctionne, rien comme le grand M jaune. Je prends les nouvelles de la journée pendant que Françoise pitonne, à la Une : une dévaluation du peso argentin de 23% en janvier qui entraine une inflation des prix spectaculaire, 20% de plus pour la viande et 50% de plus pour les médicaments. Et pour compliquer la situation, Christina est encore malade, gravement ?
Le cours du peso dans les maisons de cambio est de 8 pour 1 $USD, on obtient 11,8 sur la rue, avec des billets de 50$ ou 100$, le taux atteint 12.
On se dirige vers ce qui sera notre gite à partir du 14 février, un petit dépanneur juste de l’autre côté de la rue sera bien pratique. Pour un Cabernet Sauvignon, «Fond de cave» c’est 6$, il y a des Malbec à 2,60 $ et d’autres vins à peine plus cher que l’eau. La bière Leffe est à 2,30$ la Quillnes à 1,25$ et la grosse bouteille de Stella Artois Noire à 2,45$.
Après 5 heures de marche dans la chaleur et l’humidité, on s’habituera, on revient au bateau pour faire nos valises.
Temps de faire une appréciation des 14 jours sur le Golden Princess. Nous avons vu ses endroits très intéressants que nous n’aurions jamais rejoints autrement. La cabine intérieure convenait parfaitement à nos besoins et pour le trajet effectué une cabine avec vue extérieure n’aurait pas ajouté grand-chose.
La nourriture du buffet du matin et du midi était parfaite, le café imbuvable mais le reste très bien. Les repas du soir allaient de très bien à excellents, nous y avons rencontré des gens intéressants et sympathiques pour la plupart. Les excursions offertes sont très dispendieuses et nous avons préféré prendre de longue marche aux escales visitées.
Les deux points faibles : le personnel de Princess Cruise semble assigné à la vente d’extras, on se croirait sur une plage de la République Dominicaine et le service aux joueurs de bridge pire que nul. Donc une note de B-.