À Valparaiso on n'a pas besoin d'auto |
Les couleurs
vives des maisons, souvent repeintes par des dons de l’Unesco rendraient la
ville jolie sans ces ignobles graffitis. La mode de ces graffitis viendrait du
temps de Pinochet, ils étaient le seul mode d’expression de la presse libre,
les journaux étant tous contrôlés par la junte et la famille Edwards.
On prendra
premièrement le funiculaire Reine Victoria et ensuite celui appelé El Peral,
tous deux d’un dénivelé d’environ 45 mètres. Ils fonctionnent par poids et
contrepoids, un monte et l’autre descend, parfois ils arrêtent en chemin, idée
de faire peur ou tombent (rarement, comme les tsunamis). Comme ils datent de 1902, ils doivent être
résistants. Toutes les constructions sont d’ailleurs prévues pour résister à la
plus part des terremotos et ceux de plus de 7,5 sont rares.
Dans les
collines on passera devant une belle église luthérienne, toute verte, et une petite
église anglicane qui se voulait discrète, les papistes n’aimant pas la
compétition; mais le Chili est terre d’immigration dont beaucoup d’Allemands et
Anglais. On trouve aussi notre hôtel pour le prochain voyage ici, après le gros
lot, le Palacio Astureco.
Dans le
quartier des affaires, près du port, on verra la bolsa de valores, la statue de
l’injustice, le quartier général de l’armada chilienne et un monument en
l’honneur d’Arturo Pratt, héros de la guerre du Pacifique en 1873 entre le
Chili, le Pérou et la Bolivie.
Pinquinosn =
carrés rouges Haiti =
avec jambes,
Carabineros = police Segnor 30% = monsieur 3%.
Edwards =
Desmarais Saieh Alvara = PéladeaPhotos
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