vendredi 31 janvier 2020

Mazatlan, le 31 janvier

On en apprend plus sur cette chère Bernadette de l’hôtel Playa Mazatlan. Elle n’est pas seulement la fille du constructeur-fondateur de l’hôtel, elle en est l’architecte. C’est en 1955 qu’ils le bâtirent à partir de rien, mais de vraiment rien. Ce fut le tout début de ce qui est aujourd’hui la Zona Dorada de Mazatlan.

Malheureusement, ses souvenirs déclinent rapidement. Si au bridge ses partenaires jouent le système Bernadette, ses yeux s’illuminent quand on lui parle du passé. Elle ne rappelle pas ce qui s’est dit il y a 5 minutes, mais se souvient très bien qu’elle et son père étaient, avec raison, traités de CRAZY GRINGOS. Vraiment un monument cette Bernadette.

jeudi 30 janvier 2020

El Quelite & La Noria, le 30 mars

Visite de deux petits villages touristiques de la région.

Jeu très dur qui pouvait durer des jours - les perdants étaient sacrifiés
El Quelite est entouré de fleurs et présente de coquettes petites maisons. La visite est surtout une excuse pour déjeuner au restaurant El Meson de los Laureanos où on mange entouré de poules. Ce village est aussi célèbre pour le jeu millénaire d’Ulama qui date de l’ère précolombienne.

Le poste de police
En chemin pour La Noria, on croise un élevage de coq de combats. Chaque futur combattant possède un petit condo privé, avec orientation pour le protéger du soleil. Attaché il en fait le tour en regardant ses confrères d’assez loin pour éviter la bagarre. Chaque semaine il déménage afin d’éviter le confort d’un territoire acquis. Il peut valoir jusqu’à 1500 USD, assez cher pour décorer le clocher d’une église. N’en croyez rien, les combats de coq, c’est illégal...


On verra aussi un petit spectacle de chevaux dansants. Spécial, pas vraiment notre genre mais quand même mieux que des batailles de coq. Ce dernier village est surtout un ramassis d’artisans du cuir, selles, sandales, ceintures., sans oublier son église antique.


Photos

Mazatlan, 27-28-29 janvier

Nous pensions qu’il y avait un club de bridge à Mazatlan. Une vieille dame de 97 ans, qui possède probablement l’hôtel Playa Mazatlan, y vit et se fait reconduire chaque fois par une préposée personnelle.

On doit la remercier pour la salle qui est gratos pour le club. Reste à savoir si c’est au bridge ou au bingo que la majorité des participants joue. Quand on dit de se méfier des Little Old Lady, cela s’applique parfaitement à elle. 

Hier, les bridgeurs comprendront, je joue 2 trèfles la première main, après que les adversaires eurent gagés 2 carreaux. Nous venons de terminer trois fois premier cette semaine malgré mes erreurs impardonnables. Mais chacune d’elles est plus que compensée par le jeu bizarre de certains de nos adversaires. Demain break de bridge.

Le soir près de notre appartement:


dimanche 26 janvier 2020

Mazatlan, le 26 janvier


Le dimanche ,la tradition pour les gringos de Mazatlan c’est de se retrouver au Teatro Angela Peralta pour un concert présenté par Gordon Campbell. Aujourd’hui c’est le Marketo String Quartet qui présente des œuvres de Beethoven en première partie et d’Antonin Dvorak, un musicien américain de la fin du XIX, en deuxième partie. 

Le quatuor est normalement formé d’une Ukrainienne, d’un Espagnol, d’un Mexicain et d’un Équatorien Un d’eux était remplacé par une musicienne. En fin de spectacle, on achète nos billets pour le groupe Corky Siegel qui chantera du Blues le 9 février.


Ensuite petite marche dans certains coins de Mazatlan où la grande richesse est la belle vue sur la baie de la Playa Alas. Les plus grands dangers du coin viennent des escaliers en pierre pas toujours égaux et des chiens du quartier, les narcos ne se tiennent pas avec ce monde-là.

Mazatlan, le 25 janvier

Premières gouttes de pluie ce matin. En après- midi nous allons en autobus dans le quartier Cerritos. Le bus marqué CENTRO-SABALO, passe directement devant notre porte et nous y amène en 35 minutes. Incroyable le nombre de tours à gringos qui poussent comme des champignons après une pluie. Pourtant certains semblent être éternellement en construction, pourquoi ??

D’un coté d’un pic rocheux, une petite plage très belle et des restos pour mexicains et pour gringos De l’autre côté une immense et large plage. Les amateurs de surf s’y adonnent et quelques baigneurs Loin des plages du Yucatan, très propre, pas d’algues et pas de déchets.

On choisit de ne pas aller à ce resto, ça pas l'air solide!

Les toilettes d'un resto
La préparation du repas

Le côté gringos
Il y a pour tous les goûts!

On y marche environ 5 km en passant devant une multitude d’immenses appartements. Pour les amateurs de plage et de vie en gros blocs c’est le paradis, mais c’est très loin du centre.

On conseille aux gens de ne pas acheter sur plans... ça peut être long avant d'avoir son condo!!

vendredi 24 janvier 2020

Mazatlan, 21 au 24 janvier

Petite semaine tranquille, les seuls problèmes étant ceux à la table de bridge. Trois parties dont deux bonnes. Dodo de bonne heure, marches et bonnes bouffes complètent notre deuxième semaine.

On pense à nos amis en Guadeloupe avec la dengue, aux chinois avec leurs virus et au québécois avec leur cocktail froid et neige. 

Françoise monte son Faro pour la première fois aujourd’hui.

lundi 20 janvier 2020

Mazatlan, 19 et 20 janvier


Darwin avait bien raison, l’évolution est un processus continu mais lent. Le dimanche les gringos remplissent les cafés en bord de mer et les mexicains y stationnent leurs voitures, sortent la bière et mettent la musique à pleine tête.


Le lundi au club de bridge, même faune et flore que l’an passé. Des gringos, beaucoup de l’ouest canadien, mais on ne sait jamais quelle oreille comprendra le français. Mais partout des gens super sympathiques et toujours prêts à aider.