Amarré au quai vers minuit et demi. On essaie de dormir au
son des charriots élévateurs qui vident et replissent le navire. Une fois
débarqué, un bus nous amène en ville en passant sous un long tunnel, qui serait
le plus long en Amérique. Après ces 6 minutes, on longe un bras de mer, puis on
récupère nos valises au centre-ville.
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Ici les avions doivent faire un arrêt pour laisser passer les voitures |
Une première journée pluvieuse nous attend. On en profite
pour faire un petit tour, 1 heure, de trolley touristique. On verra en autres
la statue du capitaine Cook qui a découvert l’Alaska, celle de Ike, qui lui
donna son statut d’État. On passa à côté de plus imposant site du tremblement
de terre de 1964, un BIG ONE, et d’un immense aéroport de petits avions. Ici
avoir son avion est loin d’être exceptionnel, on peut avoir sa licence dès
15ans. Plus problématique d’avoir sa place de parking.
Au resto un écriteau rappelle que servir de l’alcool à un
mineur peut vous amener pour 5 ans en prison Le pot? Tirer sur sa femme, sans
la tuer, c’est 3 mois, sur un orignal, 7 mois. À chacun ses valeurs.
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Des parcs et des fleurs partout à Anchorage |
Dimanche une éclaircie de beau temps nous permet d’arpenter
les rues du centre-ville en longeant le site où les pionniers venus construire
un chemin de fer on établit leurs tentes.
Nous sommes à 8 heures de New-York en avion, au pif combien
de temps pour Londres? Sans tricher, qui a dit 9 heures. Et oui la terre est
ronde, regardez un globe.
On passe près d’acheter un chien, mais on a déjà notre
Charlie.
Pour finir Françoise se fait carter au restaurant, on ne rit
pas avec l’alcool ici.
Voilà un autre voyage s’achève. A la proxima vez.