On quitte le domaine où les cerfs se promènent librement,
notre nouvelle campagne et trop vite on entre dans une zone de guerre, les
mines antipersonnel sont orange et blanche et en forme de cônes. Prendre
l’avion c’est plate, rien à signaler, rien à redire, pas de retard, juste plate.
Il est 18h et nous survolons l’Ontario au nord de Northbay, l’écran devant moi
indique qu’on se dirige vers San Francisco, quand on prendra Air Transat pour
Porto, on atterrira peut-être à Madrid. C’est vrai qu’avec le gouvernement
qu’on a, Air Canada est comme le pays, un peu perdu. Il est 20h et on approche
de grosses montagnes, ça sert à quoi d’avoir une telle barrière à l’ouest
quand ils entrent tous par le chemin Roxanne On devrait vendre les Rocheuses à
Donald, ils feraient un maudit beau mur le long du Mexique, mais on pourrait
garder un couple de 10 tonnes pour boucher le chemin Roxanne.
L’altitude affecte le cerveau, mais on atteint finalement
Vancouver Le plaisir habituel d’attendre les valises et merci Jacynthe, on
rejoint la casa.
La vue du balcon sur le bras de mer Indian Arm, est
fabuleuse. Le coucher du soleil sur le centre-ville de Vancouver est fabuleux
et vaut le déplacement. Bonne bouffe et bon dodo.
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