Bodrum, Turquie le 20 avril
Le soleil semble vouloir percer les nuages et on part à pied vers Bodrum, qui serait à 30 minutes de marche. Pas évident de se retrouver et le trajet semble beaucoup plus long que prévu. Finalement, on embarque dans le bus qui fait la navette et on atteint Bodrum; ville de plaisance assez riche, d’immenses voiliers dans le port, des magasins branchés, des restaurants, ici la saison est déjà ouverte.
Une fois orienté et avec une carte, on pique à travers comme disait Jocelyne et on rejoint Gumbet qui est en effet à une dizaine de minutes (fin de Bodrum à début de Gumbet). On revient vers 13h00 et le beau temps est revenu, la chaleur suivra. Finalement l’hôtel est correct, la bouffe est très bien, l’eau de la piscine se réchauffe, le soleil aide à apprécier les choses. Mais pour Wifi on repassera on doit envoyer les textes car nous sommes incapables d’accéder au blogueGumbet, Turquie, le 19 avril
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Gumbet
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Une fois orienté et avec une carte, on pique à travers comme disait Jocelyne et on rejoint Gumbet qui est en effet à une dizaine de minutes (fin de Bodrum à début de Gumbet). On revient vers 13h00 et le beau temps est revenu, la chaleur suivra. Finalement l’hôtel est correct, la bouffe est très bien, l’eau de la piscine se réchauffe, le soleil aide à apprécier les choses. Mais pour Wifi on repassera on doit envoyer les textes car nous sommes incapables d’accéder au blogueGumbet, Turquie, le 19 avril
19 Avril Gumbet
Plus précisément nous sommes à Gumbet, le village voisin de Bodrum. Ce matin il fait fret et il pleut légèrement sur Gumbet, beau temps d’automne. Il est 15h00 et le soleil semble vouloir se frayer un chemin entre les nuages! Le groupe de jeunes vu hier à l’hôtel sont des étudiants d’une université privée de Macédoine et sont très sympathiques, on leur parle dans le lobby de l’hôtel en se battant, une fois de plus, avec une connexion Wifi.
Plus précisément nous sommes à Gumbet, le village voisin de Bodrum. Ce matin il fait fret et il pleut légèrement sur Gumbet, beau temps d’automne. Il est 15h00 et le soleil semble vouloir se frayer un chemin entre les nuages! Le groupe de jeunes vu hier à l’hôtel sont des étudiants d’une université privée de Macédoine et sont très sympathiques, on leur parle dans le lobby de l’hôtel en se battant, une fois de plus, avec une connexion Wifi.
Le temps se dégage et on se permet une bonne marche le long de la plage de la baie de Gumbet, restaurants, bars et hôtels se préparent pour l’ouverture de la saison.
18 Avril Delhi direction Turquie
Il pleut sur Delhi depuis hier, première fois en 100 jours de voyage. Nous quittons l’hôtel vers 1h20 AM, IndIa Airlines nous a vendu comme des chameaux alors c’est avec Turkish Airlines que l’on s’envole vers Istanbul.
Les Turcs aiment tellement les Canadiens que nous avons un prix spécial pour le visa d’entrée: 45 euros par personne, c’est 15 ou 20 pour les autres pays…
Il fait 9o à Istanbul et il pleut! En moins d’une heure nous passons chercher nos visas, passons le contrôle des passeports, récupérons nos bagages, achetons des billets pour Bodrum et y réservons un hôtel.
On apprend que les quatre nationalités qui visitent le plus la Turquie sont: les Iraniens, les Russes, les Allemands et les Anglais. Phénomène curieux dans un aéroport très propre et moderne, beaucoup de «corneilles noires».
À 17h00, nous sommes à Bodrum à l’extrémité sud-ouest de la Turquie. Quel choc en débarquant de l’avion on nous attend et sur 30 km la route est belle, la conduite est normale, sans klaxon, chacun suivant sa voie, les champs sont verts ce qui surprend après 100 jours de paysages jaunâtres, les maisons semblent propres.
C’est rendu à l’hôtel que les choses commencent à se gâter. On semble être tombé sur un groupe de jeunes en « school break » et le WiFi ne fonctionne pas ce soir, demain on verra. De plus, le prix du transfert est plus élevé que prévu. Pour l’aspect de la chambre et la nourriture au buffet de l’hôtel, c’est un trois 1/2 étoiles cubain.
Vaque de froid en Turquie, Françoise est fière d’avoir la veste de Suzanne et je regrette pour la première fois le chandail de Michel oublié à Montréal; passer de 37 C à 15 C, c’est une méchante drop.
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