Sommes-nous devenus des pigeons voyageurs? Notre seule raison de vivre semble être de bouffer; comme les pigeons, on retourne aux endroits où nous savons qu’il y a de la bonne nourriture.
Jeudi, après visite chez la coiffeuse pour Françoise et chez le dentiste pour moi, on se rend de nouveau à Puerto Madero où vont frayer des truchas de Patagonie.
Beaucoup de constructions
Ce vendredi, après de petits achats, on se rend au resto allemand de la calle «Tres Sergentes», on y côtoie de superbes grosses volailles qui aimeraient bien partager nos saucisses et notre choucroute.
Comme souvent, si on paye en argent, c'est moins cher.
Les oiseaux aiment-ils le café? Nous, c’est oui, alors on se dirige ensuite vers Recolleta pour un café-postre. Aucun indice de pauvreté dans les cafés et terrasses toujours pleins. Les pigeons locaux semblent n’avoir aucun problème économique. Rien de misérable non plus sur les calles Alvear et Arroyo par où nous revenons.
Le café où on voulait aller, une demi-heure d'attente!
Par contre, on sait que beaucoup doivent fouiller les poubelles pour se nourrir. Deux mondes.
Comme chez-nous, elle a sa ''tente'' dans un parc
On se prépare pour notre migration annuelle vers le Nord en espérant que les camionneurs, qui menacent de bloquer tout déplacement dans le pays ce lundi, ne bouleversent pas nos plans.
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