Le
lendemain on repart pour une autre grande marche, avec une carte des plus
approximatives et des instructions détaillées du type : «Tourner à gauche
au coin de l’atelier de vélo», or il n’existe plus; «Vous verrez une petite
école», encore faut-il savoir que cette cabane désaffectée fut jadis une école;
«Avant d’arriver à une maison abandonnée», plus de la moitié des cabanes le
semble. Finalement on grimpe pendant 2 heures et de guerre lasse on vire
chemin, très bon pour s’arracher le cœur ou le mettre en forme, tout dépend des
théories médicales de chacun.
Parlons-en
de la faune et de la flore du coin. À l’hôtel ici, ce sont des baby-boomers
majoritairement canadien ou américains, sur la place centrale des hippies de
type peace and love des années 70, Ganesh c’était drôle en Inde, en Équateur çà
nous semble plutôt ridicule; beaucoup d’expatriés venus chercher la jeunesse éternelle,
tout ce beau monde au milieu des locaux qui ont la réputation d’être
centenaire, mais ceux que l’on voit
sortent en majorité de l’école secondaire.
Mais le
climat ici est super, ni chaud ni froid, et il règne sur ce village une
atmosphère de nonchalance qui doit plaire à plusieurs; il est temps de sortir
Françoise d’ici, elle néglige le blog et voit des bananes roses.
1 commentaire:
Magnifiques, ces photos de fleurs "exotiques"...ça me rappelle les serres de l'école et le frigo des profs de fleuristerie ! De bons souvenirs. C'est bien, pour Françoise, un peu de repos après toutes ces planifications de voyages ! C'est pas défendu d'en profiter un peu....
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