Malgré la courte nuit, Françoise
doit faire du bla-bla pendant quatre heures car nous voyageons entre Juan-les
Pins et Montpellier grâce à du co-voiturage: blablacar.
Notre rue De La Fontaine |
Le temps de se réorienter au
système de boussole français nous accédons à notre donjon dans le quartier
historique de la ville.
Église St-Roch |
Au bout de la rue, ou des rues,
car le nom de celles-ci changent continuellement, on entre dans la toute
nouvelle église de Saint-Roch, patron de
Montpellier qui ne date que du XIX; puis dans le dédale des rues piétonnières
étroites on atteint la place de la Comédie, un des plus vastes espaces
piétonniers d’Europe. Endroit impressionnant dominé par l’opéra et la statue
fontaine des 3 Grâces.
Quelques milliers de pas sur
cette place on trouve enfin! L’office de tourisme municipal, son endroit était
pourtant clairement indiqué mais il fallait lire cette langue que les gens
d’ici parlent.
Hôtel de Varennes |
Premier petit musée, la Pharmacie de l’œuvre de la Miséricorde où de belles poteries des XVIII & XIX nous montrent les ingrédients qu’utilisaient les générations de Jean Coutu de l’époque, entre autres, pavot et chiendent; adjacente la chapelle de la Miséricorde aurait bien besoin des dons et visite des plus de 60 ans, pour qui c’est gratos. On poursuit avec la visite de l’Hôtel de Varennes, où les souvenirs des guerres de religions et de la révolution française se trouvent, comme on a assez de problèmes d’orientation on ne paniquera pas à retrouver à quelle date on était le «6 Germinal de la III République», on laisse ça à nos petits bolés.
Chapelle des Pénitents blancs |
On casse la croute au Koeur Montpellier et au retour on entre dans la chapelle des Pénitents Blancs initialement construite à la fin du XII. Après sa destruction pendant les guerres de religions, elle fut reconstruite et consacrée en 1624. On termine au Carrefour et on entre pour repas et dodo.
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