On prend le métro et on
débarque en face du théâtre Bolchoï ouvert en 1825. Ce n’était pas notre
destination mais avec le cyrillique on va un peu au hasard. On marche donc un
peu, et on atteint les jardins d’Alexandre et on rejoint la billetterie du
Kremlin en passant devant la tombe du soldat inconnu et une arche dans une
grotte qui souligne la renaissance de Moscou après le feu de 1812, cadeau du
petit caporal.
Avec un peu d’aide on achète
nos billets dans une bipbip de machine et on entre enfin chez Poutine par la
porte Troitskaya (1494).
L’étoile rouge au sommet ne
date que de 1937, autre époque glorieuse.
On passe devant le canon du
tsar de 395 tonnes fondues en 1586 et on atteint la place des cathédrales.
Celle de l’Annonciation servait d’église privée des grands princes et tsars de
Moscou (1484-1489). Comme toutes les églises orthodoxes c’est une orgie
d’icônes
Ensuite, c’est celle
d’Archange du Kremlin. Elle est consacrée à l’archange Michel, patron céleste
de l’armée russe. Elle sert de nécropole des premiers tsars et princes de
Moscou. Plus de 50 tombes.
La cathédrale de l’Assomption
(1479) était l’église officielle des tsars, on y retrouve le Sauveur à l’œil
terrible, sur une iconostase de 16 mètres.
Tout près se trouve la tour aux cloches
d’Yvan le Grand, et devant elle une immense cloche brisée pesant plus de 200
tonnes.
En gros: Pas si tant pire la cabane du
camarade Poutine.(Le Kremlin)
En après midi on visite Moscou avec deux autobus HOP-ON, HOP OFF.
La propagande inclut la grandeur des travaux du Petit Père du peuple et l’explication démocratique de l’annexion de la Crimée.
Pour l’ensemble c’est un beau tour au centre-ville et le long des rives de la Moska.
La propagande inclut la grandeur des travaux du Petit Père du peuple et l’explication démocratique de l’annexion de la Crimée.
Pour l’ensemble c’est un beau tour au centre-ville et le long des rives de la Moska.
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