Au hasard des pas on tombe sur
un petit resto qui vient de réouvrir dans une bâtisse universitaire. Nous
semblons être les premiers clients. Nous sommes chaleureusement reçus avec deux
mots de français et trois d’anglais.
Notre première visite sera
pour la cathédrale Saint-Isaac (1819-1858). On grimpe alors 221 marches pour
atteindre sa colonnade d’où on a une excellente vue sur la ville et la Neva.
L’intérieur est splendide,
contrairement aux autres églises orthodoxes que nous avons visitées, tout est
vaste et illuminé. Les mosaïques sont vraiment grandioses. Pendant l’époque des
camarades elle servie de musée, ensuite elle resta debout, sans coup direct
pendant le siège allemand de 872 jours. Debout mais très endommagée par le
froid et le manque d’entretien.
On poursuit vers la Neva et la
statue de Pierre 1er qui est un hommage de Catherine II au grand
tsar.
Le bruit des avions de
chasses, la vue du navire de guerre et du sous-marin nous rappelle que nous
sommes chez le grand chum de Trump.
On va manger sur la rue
Malaia-Morskaia où en plus des Gogols ont habité Dostoïevski et Tchaïkovski. De
là c’est la Place du Palais, bordée par le Palais d’hiver et l’immense bâtiment
de l’état-major des armées. (1829). Au centre de la lace, la colonne
d’Alexandre haute de 47 mètres.
On entre dans la cour de l’Ermitage afin de repérer la kacca, On y reviendra mardi si Poutine le veut.
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