dimanche 18 janvier 2015

Antigua, Guatemala, le 17 janvier 2015

On peut voir le volcan Acatenango
Ce matin le Volcan Agua nous dit bonjour

Un départ en avion doit, par principe et par définition s’accompagner de quelques récriminations sur la technologie moderne qui réduit le service humain et allonge les délais. Partir du Québec en hiver en passant chez l’oncle Sam, c’est encore pire. Mais je dois chercher contre quoi me plaindre sur le voyage comme tel et je ne trouve rien. Si: le service en espagnol sur le vol Atlanta-Guatemala City  est beaucoup plus complet que le service en français sur le vol Montréal-Atlanta. De plus ils ne servent la boisson municipale de la ville que sur le vol en partance d’Atlanta.

Un petit arrêt à l’aéroport d’Atlanta nous confirme très tôt que nous sommes dans le sud profond. Ici la minorité (ou majorité) visible ne porte pas de turbans ni de tchador; autres pays autres mœurs. Quoi d’autres à voir, de la bouffe, de la bouffe et encore de la bouffe. Une murale offre de plus un petit cours d’histoire américaine. Au début de la guerre de sécession, Atlanta était la plaque tournante du chemin de fer des Confédérés et la Géorgie le centre mondial de production du coton. Aujourd’hui c’est la plaque tournante de Delta  Airlines et le centre mondial du Coke.

Nous sommes arrivés fatigués mais corrects. Petite marche en ville, ma boussole est à «off». On laisse une première commande au marché à la caisse, ici c’est gratuit jusqu’à la caisse mais il faut payer avec des quetzales. Pas pratique la première journée, mais je les félicite de se tenir debout. Bon dodo et on est très bien en se levant.

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