On peut voir le volcan Acatenango |
Ce matin le Volcan Agua nous dit bonjour |
Un départ
en avion doit, par principe et par définition s’accompagner de quelques
récriminations sur la technologie moderne qui réduit le service humain et
allonge les délais. Partir du Québec en hiver en passant chez l’oncle Sam,
c’est encore pire. Mais je dois chercher contre quoi me plaindre sur le voyage
comme tel et je ne trouve rien. Si: le service en espagnol sur le vol
Atlanta-Guatemala City est beaucoup plus
complet que le service en français sur le vol Montréal-Atlanta. De plus ils
ne servent la boisson municipale de la ville que sur le vol en partance
d’Atlanta.
Un petit
arrêt à l’aéroport d’Atlanta nous confirme très tôt que nous sommes dans le sud
profond. Ici la minorité (ou majorité) visible ne porte pas de turbans ni de
tchador; autres pays autres mœurs. Quoi d’autres à voir, de la bouffe, de la
bouffe et encore de la bouffe. Une murale
offre de plus un petit cours d’histoire américaine. Au début de la guerre de
sécession, Atlanta était la plaque tournante du chemin de fer des Confédérés et
la Géorgie le centre mondial de production du coton. Aujourd’hui c’est la
plaque tournante de Delta Airlines et le
centre mondial du Coke.
Nous sommes
arrivés fatigués mais corrects. Petite marche en ville, ma boussole est à
«off». On laisse une première commande au marché à la caisse, ici c’est
gratuit jusqu’à la caisse mais il faut payer avec des quetzales. Pas pratique
la première journée, mais je les félicite de se tenir debout. Bon dodo et on
est très bien en se levant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire