Il y
aurait tant d’églises à visiter, la coupe est pleine, même chose pour les
musées d’arts religieux, alors on se concentre sur l’histoire.
Hier le 31
mars, c’était le trentième anniversaire d’un gros tremblement de terre qui a
secoué Popayan; la tour de l’horloge entre autres, érigée de 1673 à 1683, qui
domine le parc central fut abimée et restaurée en 1983, un poète local l’a
nommée «La nariz de Popayan».
Dans le
Pantheon de Los Procedores, on voit de petites tombes contenants les restes des
fils illustres de la ville, dont celui de Tomas Cipriano de Mosquera, on
visitera sa maison plus tard.
La faculté d’études historiques de l’Université de Cauca se trouve dans une très grande demeure avec de beaux grands patios extérieurs, elle aussi restaurée après le tremblement de terre, c’est là que se trouve la maison de celui qui fut un ami de Bolivar et quarte fois président de la Colombie, avoir des relations ça ne nuit jamais.
Le Popayan
touristique, blanc et propre, est tout petit; cinq rues de large par une
dizaine de long, après cela on tombe dans des quartiers où la prudence nous
conseille d’éviter, pourquoi cette peur dans le fond, l’histoire prouve partout
que les riches ont bien plus volés que les pauvres !
Dimanche
soir la ville était quasi déserte mais la vie reprenait dès lundi matin, ce
soir une nouvelle procession se prépare (?), on passera voir.
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