dimanche 31 mars 2013

Popoyan, le 31 mars


On se rend au «Puente el Humilladero» qui franchit le rio Molino, frontière entre le Popayan historique et les quartiers populaires, de l’autre côté du rio la ville reprend des aspects plus typiques des villes sud-américaines.


Le «Rincon Payanés » est un tout petit quartier où on retrouve quelques kiosques d’artisanat, rien de comparable au super Congrès des Métiers d’Arts visité la veille, mais la super abondance noie souvent les belles choses. Juste à côté une petite colline «El Moro de Belacazar» permet de jeter un coup d’œil de haut sur Popayan, quelques gouttes viennent nous surprendre, en redescendant, j’ignore pourquoi, mais je réalise qu’encore une fois l’histoire se répète: un éminent membre des Jeunesses Hitlériennes se réfugie dans la maison de campagne d’un haut dirigeant de l’église d’Argentine, question de point de vue, direz-vous.

En revenant à notre gite, la Casa de Mima, on a droit à un petit concert intime, les hôtes recevaient pour la première communion de leur petit-fils. On a droit au café, petit gâteau et verre de vin, rien pour briser notre indécision sur la suite du voyage.
   

1 commentaire:

Lise Do a dit…

Continue de nous écrire tout ce que tu vois et penses Richard, tes mots nous le rendent très bien !
Un bon conteur....On ajoute ça aux médailles du bon cook de saumon ! Bonne fête en retard à Françoise.