En faisant deux fois plus de 5000 pas le long du rio
Puyo, on découvre l’identité des terribles créatures qui transforment une
partie de sa rive en marécage, ces créatures vertes descendent le courant avec
une grosse balloune de plastique sur le dos, d’autres semblables portent des
mitrailleuses, ces batraciens doivent se pratiquer pour défendre la révolucion
ciudania; en Amérique du Sud, pour être
dans le vent, faut être révolutionnaire, même si c’est grâce aux revenus
pétroliers et avec des US$.
C’est avec regret qu’on quitte l’hôtel El Jardin, un
vrai paradis ou on mange superbement bien.
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