samedi 11 avril 2015

Masaya, le 11 avril

La ville de Masaya est typiquement Nicaraguayenne, ici ce n’est pas une ville touristique comme les villes de Léon, San Juan del Sur, et Granada. C’est pauvre, entre grosses misères et petites misères. La ville est réputée pour son marché d’artisanat, s’en approcher est suffisant pour moi, même si autour du parque central ils font des efforts pour ramasser les déchets, quand on approche le marché, c’est l’Inde. Le plastique est une des trois grandes calamités inventées par l’homme dans les 150 dernières années, les deux autres étant le moteur à explosion et l’informatique. Ce sont les trois grandes sources de la pollution mondiale. À quand une manif au centre-ville de Montréal pour dénoncer ces monstres modernes? Ça au moins ce serait trois bonnes raisons de fermer les CPE et les écoles primaires.

En soirée on tombe sur un bon resto allemand avec un orchestre de musique nicaraguayenne, ça réconforte après une journée caniculaire.

Le nouveau marché
Les taxis de l'ancien marché que je fais pendant que Richard attend sur une terrrasse

1 commentaire:

Lise DO a dit…

Tiens, tiens, Richard et Lise qui blâment l'informatique...
Surprenant quand leur aînée est programmeur-analyste, quand la démocratie des associations étudiantes en aurait bien besoin pour promouvoir le vote secret de leurs assemblées dictatoriales!
Comme quoi, les médailles ont toujours deux côtés, la modération toujours sa place.
Comme à l'accoutumée, merci encore tous les deux ! Vous nous avez instruit des splendeurs et misères de coins de pays inconnus, pour une meilleure conscience de cette planète Terre.
Bravo ! Et nous, on vous a réservé un printemps tout neuf pour votre retour ici.