mercredi 1 avril 2015

Granada, le 1 avril

Fondé en 1524, cette ville ne l’a pas eu facile. Sa situation géographique, sur les bords du grand lac Cocibolca (Lago de Nicaragua) est la source de sa richesse et de ses problèmes. On peut l’atteindre de l’Atlantique et le Pacifique est tout près. En 1665 elle fut incendiée par le pirate Henry Morgan, puis devint le centre conservateur d’une guerre civile l’opposant à Léon. Un américain, pas le dernier, s’en mêla  et quand il sentit sa défaite il l’incendia complètement le  22 novembre 1856, ne laissant qu’un mot : «A qui fue Grenad» Les hispanophones en herbes devront trouver le verbe et le temps.

On visite le couvent San  Francisco, reconstruit, qui sert de musée et l’église la Merced qui permet du haut de son clocher d’avoir un beau panorama sur la ville.

 

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