mardi 31 mars 2015

Granada, le 31 mars

On quitte les travailleurs de San Juan del Sur qui semblent vouloir commencer à réparer le pont qui est tombé il y a deux jours. La campagne du Nicaragua est jaune, l’eau c’est pour le mois prochain; tant qu’à la richesse, si jamais il y en a un peu, quelqu’un viendra bien la chercher avant que la grande majorité de la population sorte de la misère.


On atteint Granada, une ville coloniale, au passé historique fort, on y reviendra. Les alentours immédiats du parque central sont très jolis, mais dès que l’on pousse un peu à l’extérieur de la zone coloniale et touristique, c’est le quart-monde. On passe à côté du mercado central et même Françoise ne semble pas intéressée à y entrer, c’est tout dire.

En soirée on va sur une rue piétonnière envahie de touristes sur les terrasses, on ne croirait vraiment pas à un jet de pierre de la misère crasse. Notre gite est très bien, piscine, cuisine etc. On s’en va faire notre épicerie au Wall Mart, il y aura toujours un  gros poisson pour bouffer les petits.

Le théâtre

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