Je célèbre toujours ma fête dans un autre pays |
Maintenant
que ma blonde ne peut plus plaider les erreurs de jeunesse, il est temps que je
reprenne le collier et livre un compte rendu objectif sur cette ville et le
pays.
Partout sur
la plage, le bon peuple nicaraguayen profite des bienfaits de la révolution
sandiniste et le soir encourage la compagnie de bière nationale en support aux
programmes sociaux possibles avec l’aide des amis bolivariens et cubains.
Quelques infortunés doivent se contenter de regarder de haut, dans leurs
bicoques sans accès direct à la mer, mais c’est le prix à payer quand on est au
service du peuple.
Les camions de bière sont arrivés, on peut commencer la fête, vacances ou semaine sainte |
Les pauvres louent un toit pour passer la journée et ... |
Les plus plus pauvres ramassent tout ce qu'ils peuvent |
Les moins moins pauvres regardent de haut |
Toute la
population travaille fort, dès le plus jeune âge au succès de la révolution et
à assurer à son courageux président et sa femme bienfaitrice du peuple une vie
compatible avec les services rendus au pays.
D’autres
femmes travaillent pour assurer un apport de devises fortes au pays en
exploitant les richesses naturelles du coin. On voit bien par les latinos aisés
qui partagent les bons restaurants avec les gringos que ce pays est un paradis
en devenir et que dans trois générations d’Ortega le rêve de Sandino sera enfin
réalité.
Pour notre
part, une semaine de repos avant le dernier droit de visites dans la ville de
Granada, on commence le compte à rebours, et à regarder pour les prochains
voyages et on a hâte de vous revoir.
Merci à mes petits fils, la petite vendeuse de coquillages était très
contente d'avoir votre petit train
elle
m'a dit je vais aller le dire à ma mère mais avant je veux une photo avec toi
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire