vendredi 25 janvier 2013

Lima, le 24 janvier

             
Quand on commence à fréquenter le même restaurant une troisième fois en deux jours c’est peut-être parce qu’il est bon mais peut-être aussi parce qu’on a fait le tour du jardin. On quitte donc Arequipa, la ville blanche (blanche pour la couleur des bâtiments au centre-ville et blanche pour les sommets des volcans enneigés qui l’entoure) pour la mégapole de Lima.


C’est la façon de faire des documents, les hommes sont assis dans le parc avec une veille imprimante, ils tapent avec 2 doigts tout ce que vous voulez
Un vol Arequipa-Lima en fin d’après-midi c’est comme revenir de Toronto vers Boucherville, le plus long c’est le trajet en taxi vers notre destination finale. Le plus long et le plus dangereux aussi, le Routard conseille une compagnie de taxi comme fiable, moins arnaquer et voleur mais tout aussi cowboy que les autres, ils ont raison: La conduite à Lima est un sport extrême, et soudain c’est le Bang. Le conducteur d’en avant devait reculer trop vite ou notre chauffeur être distrait. Rien de grave cependant.

Après plus d’une heure on atteint notre destination, ce sera bien, près du centre de Miraflores, on commence à retrouver les odeurs de la place, à plus demain.
(Le 2 février, n’oubliez pas de faire des crêpes.)

1 commentaire:

Chantal Thibodeau a dit…

J'ai montré la dactylo aux gars: ils n'ont absolument aucune idée de ce que c'est ! Plus pratique qu'un portable dans le parc, pas besoin d'électricité, pas de reflet dans l'écran, pas de souris, ça ne gèle pas... mais pas mal plus compliqué d'avoir 2 copies. Ne t'en déplaise papa, je pense que ça ne reviendra pas.