C’est reparti pour le Pérou, comme nous sommes dans une nouvelle ère du calendrier Maya, on oubli la fin du dernier voyage et on repart à neuf. Mais pour les tracasseries douanières et de sécurité, je pense qu’on est encore à l’époque de la Sainte Inquisition, pourquoi nous demander 36 fois nos passeports et presque vérifier la couleur de nos bobettes. Pour ce qui est du service d’American Airlines, oubliez çà, il faut faire affaire avec des robots inhumains et l’hôtesse à bord ne mentionne même plus qu’il faut prendre un parachute si on veut sortir prendre l’air. Mais à défaut d’humanité, on offre un service Suisse, ON TIME. Donc vers 5h30 du matin nous sommes à Lima, pas le temps de faire autre chose que de trouver la porte pour notre prochain vol vers Cusco.
Je ne sais pas si la nouvelle du désastre aérien évité de justesse a fait les manchettes de RDI, mais une inondation causée par la bonne volonté de Françoise pour protéger mon insuline a bien failli forcer LAN à faire appel à Qualinet.
Rien de trop beau pour la classe ouvrière, Françoise à réservé au Best Western, muy bien, et tout près du centre que l’on retrouve avec plaisir après les batailles technologiques habituelles (coffre-fort) et un petit dodo.
La plus belle cathédrale |
Première visite, celle de la cathédrale de Cuzco (1560) une des plus belles au monde. Tout simplement renversant d’or, d’argent de boiseries, ce qu’il faut se rappeler c’est la symbiose de l’art Inca et de l’art espagnol. Pour les catholiques incrédules et déformés par les idées de Vatican-2, Saint Antoine de Padoue existe toujours et en plus de trouver les objets perdues, il trouve un mari aux filles qui en cherchent un, ailleurs dans l’immense église, un autre saint protège les hommes qui veulent rester célibataires, pour convertir il faut bien un saint pour le goût de chacun.
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