Le 25, on part pour une grande marche de Miraflores vers le centre de Lima, après avoir cherché la rue Arequipa qui descend vers le sud pendant un bon 10 minutes, on part. Qu’Il était bien le temps ou on allait jusqu’à la ferme rouge et tournait du côté où broutent les deux vaches brunes, pas de GPS pour nous mêler. Promenade agréable pendant une bonne heure puis on bifurque pour acheter les billets d’autobus pour mardi prochain, Lima n’est pas une ville facile pour circuler à pied et encore moins en voiture, des autoroutes engorgées se croisent, seul les bus municipaux, sorte de métro de surface avancent rapidement sur leur voie réservée.
Comme presque toutes les villes sud-américaines,
la Plaza Major, cœur historique est bordée sur un côté par une majestueuse
cathédrale, seul bâtiment vraiment ancien ici (1746) et le palacio de Gobierno
(1938). Ce qui frappe dans l’architecture de Lima ce sont les vieux balcons de
bois qui rappellent l’influence arabe en Espagne.
Aujourd’hui pèlerinage vers notre
restaurant fétiche de l’an passé. En marchant
sur la belle promenade le long du Pacifique, on voit à peine la mer, la
garua, bruine fine venant de la mer envahit la côte, l’hiver c’est toute la
ville qui souffre de ce crachin. On mange toujours bien au «El Senoro de
Sulco», mais la magie de l’année passée n’y est plus.
1 commentaire:
Oui c'est très joli, cette inspiration arabe dans les balcons de bois accrochés aux murs. La couleur du bois vieilli, sculté, moi ça réveille mon envie de me promener chez des antiquaires ou de faire les ventes de garage, à la recherche de beaux objets de bois.....
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