Au début de la journée notre boussole est folle, on confond
la mano derecha et la mano isquerda sur ce qu’ils appellent une carte. Mais
avec le temps et de l’aide on atteint l’église du Seigneur del Encino qui date
de 1773, c’est un des plus vieux quartiers de la ville. C’est dimanche et les
églises sont pleines avec les marchands du temple qui attendent à la sortie.
Juste à côté le musée Jose Guadalupe Posada, un artiste du Mexique qui a créé
la Catrina en 1912.
On poursuit sur le même thème avec le museo national de la
Muerte. Depuis l’époque préhispanique la mort est au centre de la culture
mexicaine, en passant par sa place dans la toute puissante église, par la fin
de vie tragique des héros nationaux jusqu’à la dernière salle dédié aux
millions de victimes du Covid-19. Bon un peu de futurologie ici, mais bien dans
l’esprit du musée.
Comme bien d’autres aux quatre coins de la ville, le temple
de San Antonio laisse songeur sur la provenance des dineros requis pour sa
construction et son entretien. Tout près le museo de Aguascalientes présente
ses peintures et sculptures intéressantes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire