Quand le malheur frappe, priez. Quand des arbres OGM voient pousser,
des sacs de plastiques dans leurs branches, au lieu des feuilles, priez. Quand
le coronavirus frappe le Québec, priez. Quand le coronavirus frappe le Mexique,
priez. Quand des milliards de dineros s’évaporent des marchés, priez. Quand les
Glorieux ne font pas les séries, priez. Quand tous les bateaux de Princess
Cruise se transforment en sanatorium, priez. Mais si vous ne savez pas comment
prier le nom de dieu, un pèlerinage à Nombre de Dios pourrait vous sauver.
Indulgence plénière garantie.
Cette petite municipalité, à une cinquantaine de km de
Durango, conserve son air provincial et colonial. Fondé en 1562, avant Durango,
par le frère Pedro de Espinareda, on l’appelle souvent, La villa des quatre
temples.
On commence notre pèlerinage au Templo, de Jesus Nazareno,
un des plus vieux de l’état. Un grand parvis avec des arbres magnifiques et à
l’intérieur un incroyable tableau : Las Animas.
Pauvres tableaux |
Tout près de la Plaza de Armas, on prie au Templo de Nuestra
Senora de la Natividad. Incroyable mais on ferme encore des temples en
après-midi en cette période de grande calamité. Comme celui de San Francisco,
le premier du nord du Mexique.
Comme on ne vit pas de prières, on se restaure avec des gorditas, le met traditionnel local.
Après avoir salué Saint Pierre au templo de San Pedro
Apostol, on prend un petit café avant de jeter un rapide coup d’œil au rio qui
coule dans une belle végétation.
Nombre de Dios, est un Pueblo Magico, si vous voulez y
venir, le magicien vient le dimanche.
On vend de tout sur la grande place |
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