Départ un peu tardif, car on attendait la visite du réparateur d’air conditionné. C’est fait.
On traverse la rue la plus large du monde et on prend
Libertad. On avance au rythme de notre photographe, c’est long, trop de belles
choses dans cette ville. Marcel tu devrais venir.
En longeant le parc devant le palais de justice on remarque
des barricades anti-manif des deux côtés, pourtant ça fait déjà quatre jours
que nous sommes à Buenos Aires et on n’a pas encore vu une seule manifestation.
Est-ce l’espoir de jours meilleurs ou la crainte des mesures anti syndicale du
gouvernement Milei.
On se dirige vers l’avenida de Mayo en prenant la rue que je
rebâtisse « rue des gratteux de guitare ».
L’avenida de Mayo est encore belle, mais si les trop
nombreux graffitis cachent son cachet. P’tit café près du parc devant le
Congresso. On voit l’annonce d’un spectacle d’Edith Piaf au théâtre Liceo, on
réserve pour demain.
On le contourne et on revient en piquant à travers le
Palacio Barolo, on y retournera pour une visite plus complète.
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