Cambio, cambio. C’est le premier mot espagnol que les touristes doivent apprendre à Buenos Aires.
Les habitués évitent la calle Florida et vont plutôt à une casa de cambio. C’est ce que je fais avec Suzanne qui apprend que 2 X 50 n’est pas égal à 100. C’est ainsi dans ce pays qui imprime les 1000 pesos à une vitesse qui rendrait Justin Trudeau jaloux et qui vénère les billets de $100 de l’oncle Sam.
On revient avec 6 grosses piles de billets de 1000 pesos. Faudra les dépenser vite car leur valeur fond comme neige au soleil. Si on se fie au taux de change le peso a perdu plus de 8% en une semaine.
On revient avec 6 grosses piles de billets de 1000 pesos. Faudra les dépenser vite car leur valeur fond comme neige au soleil. Si on se fie au taux de change le peso a perdu plus de 8% en une semaine.
Tout près de notre appartement on trouve une petite rue : Sargento Cabral. La rue est minuscule mais la grandeur du personnage fait partie du folklore historique des Argentins et de l’une des marches militaires les plus populaires : La Marcha de San Lorenzo.
(La marche de San Lorenzo raconte ce qui s'est passé le 3 février 1813 dans une zone presque désertique près du couvent de San Carlos, à une trentaine de kilomètres de la ville de Rosario, à Santa Fe. Cela commence avec le lever du soleil et culmine avec la mort du grenadier Juan Bautista Cabral, qu'il qualifie de soldat héroïque.)
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