On entre dans la
région du thé, les ouvriers et cueilleuses furent importés par les anglais du
Tamil Nadu, ce sont les tamils des plantations, ils sont de castes inférieures
à ceux du nord du pays et, furent beaucoup moins actifs pendant la guerre
civile. Après l’indépendance en 1948, le gouvernement a pris le contrôle des
plantations de thé et la productivité et la qualité en ont beaucoup soufferts.
Aujourd’hui des compagnies privées ont repris la gestion et tout s’est amélioré
sauf les salaires. Les exportations vont surtout vers les pays musulmans, Iran,
Irak, Arabie Saoudite etc.
La route est étroite,
sinueuse, mais belle et le trafic est léger. Un arrêt sur un promontoire permet
de contempler, rizières, champs de thé et petites chutes.
Comme Charles le fit, on s’arrête à Labokelle pour visiter une usine de thé : la Mackwoods Fine Tea datant de 1841. Après le cueillage les feuilles sont séchées pendant 14 heures sous forte ventilation, ils perdent 80 % de leur poids par évaporation. Suivent pour le thé noir, les étapes de flétrissement, de broyage, de fermentation, de séchage, de classement par catégories et d’emballage. Le thé vert venant des mêmes feuilles, est procédé de façon plus naturelle, pas de fermentation, ce qui lui permet de garder ses bonnes propriétés. Le thé blanc est produit avec seulement l’extrémité de la feuille et coûte une petite fortune. L’endroit est très visité, on y croise des québécois, un couple du Liban et des chinois.
Comme Charles le fit, on s’arrête à Labokelle pour visiter une usine de thé : la Mackwoods Fine Tea datant de 1841. Après le cueillage les feuilles sont séchées pendant 14 heures sous forte ventilation, ils perdent 80 % de leur poids par évaporation. Suivent pour le thé noir, les étapes de flétrissement, de broyage, de fermentation, de séchage, de classement par catégories et d’emballage. Le thé vert venant des mêmes feuilles, est procédé de façon plus naturelle, pas de fermentation, ce qui lui permet de garder ses bonnes propriétés. Le thé blanc est produit avec seulement l’extrémité de la feuille et coûte une petite fortune. L’endroit est très visité, on y croise des québécois, un couple du Liban et des chinois.
Avant d’arriver à
Numara Eliya, on passe par Inverness.
Nous sommes logés dans
une vieille maison coloniale britannique, très agréable, dommage qu’on ni soit
qu’un soir.
Les arabes aiment venir passer une semaine ici à la fraiche.
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