L’activité principale des touristes, à part manger, boire et ne rien faire : du surf pour les plus habiles, de la planche ou de la baignade dans les fortes vaques et pour ceux qui le veulent, l’observation des baleines. Partout on vend des excursions qui semblent partir tôt le matin.
La fiesta débute à partir de 10 heures le soir, se coucher tôt et dormir n’est pas pour ceux qui résident en bord de mer. Heureusement nous sommes dans une petite guesthouse à 15 minutes de marche qui donne sur le port. Ici le seul concert nocturne c’est celui de la chorale des chiens, mais ce n’est pas long.
Vendredi on se rend en
tuk-tuk à la plage voisine (4 km) de Welligamma. Elle est d’un style tout autre, très longue,
très large, semble descendre lentement dans l’eau et de plus petites vaques
semblent parfaites pour l’apprentissage du surf ; d’ailleurs les boutiques et
écoles de surf se suivent.
Beaucoup moins de
monde, presque déserte par grand bout. On y trouve des bateaux de pêcheurs, le même
style qu’à Tangalle mais, en beaucoup plus gros. Ici les petits hôtels sont
très en retraits et laissent toute la place aux bibittes pour installer leur
cabane sur la plage.
Peu de resto près de
la plage, un seul me semble correct mais, de style plus chic que Mirissa, il
pratique des prix presque le double : le W-15. Ça c’est aujourd’hui, mais
un immense Marriott est en fin de construction, il n’a vraiment aucun rapport
avec le style de l’endroit. Les européens qui boudent de plus en plus les
plages de l’Afrique du nord ont ici au Sri Lanka une alternative pas trop loin,
les prix sont pour toutes les bourses, des jeunes se logent pour à peine 10
Euros, des chambres très correctes se trouvent entre 30 et 60 Euros et pour les
autres, sky is the limit.
Mais partout sur les
plages du sud Sri Lankais, Mucho Calor. Restera-t-il de la belle poudreuse dans
10 jours.
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