Signe des temps(?), on prend le funiculaire pour monter la colline de 76 mètres qui se rend au Pipila. En montant et de là on a une vue panoramique spectaculaire sur toute la ville et les collines environnantes. Le monument du Pipila, surnom de Juan José de los Reyes Martinez, un héros de la guerre d’indépendance est la seule attraction du coin alors on redescend, à pied cette fois.
On tombe alors sur El Calleon del Beso, petite rue hyper étroite qui est
le site d’une belle légende. Les deux balcons séparés de seulement 68 cm
auraient servi à deux amants pour s’embrasser sans l’accord du paternel.
L’histoire finit mal, mais la légende perdure.
On pensait prendre un café du Chiapas dans une belle pièce donnant sur
le Jardin de la Union, mais on doit aller les acheter dans un discret Starbucks
à deux portes de là.
On visite le musée Iconographique de Don Quijote. Plus de 800 portraits, dessins, sculptures rappellent le personnage le plus célèbre de la littérature espagnole (avant le Che. Je ne connais malheureusement pas ce personnage, mais à voir les œuvres, si Rodrigue avait du cœur, lui semble avoir eu du pique. (Lances et épées).
On mange dans l’ancienne fonderie d’argent et d’or qui approvisionnait la casa de la moneda. Les mexicains aiment la musique, un orchestre jouait dans le kiosque au milieu du Jardin Union en début de soirée, et vers 11h15, les Callejoneadas passaient devant la fenêtre de notre chambre. Et c’est sans compter le concert de cloches le matin.
Photos
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire