Au programme
aujourd’hui, des messes, des messes et encore des messes. Dans toutes les
églises le matin comme le soir impossible de visiter et de prendre des photos.
De la cathédrale, en passant par le temple des jésuites, l’église de San
Francisco, le temple del Carmen et même le templo presbitereano, partout c’est
plein de monde. À croire que La Réforme n’a jamais eu lieu, pourtant de
nombreux couvents furent détruits ou endommagés. La ferveur religieuse des
mexicains ne semble pas avoir été atteinte.
Entre nos prières,
la visite du musée ferrocarril, qui retrace l’histoire du chemin de fer
mexicain. De loin le point fort, qui aurait émerveillé mon grand-frère, est le
décor où circule un petit train électrique. Le niveau technologique de l’installation
n’atteint pas celui de son réseau, mais il serait jaloux de la décoration.
Au Teatro de la Paz,
on assiste à un concert de l’orquesta sinfonica de San Luis Potosi. Le tout
commence par le thème de la princesse Léa (Star Wars IV), suivi Del concerto al
Amor mettant en vedette la mezzosoprano Fabiola Hentschel et la pianiste russe
Vera Chistyakova dans une œuvre de Rachmaninov.
À l’intérieur du
musée Regional Potosi, le point fort et de loin, est la capilla de Aranzazu
aménagé par les religieux pour leur usage particulier en 1690.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire