Trois choses à
faire à San Miguel : visiter des églises, jouer au bridge et bien manger.
Dans un climat presque parfait, même si frisquet le matin, c’est la grande vie.
Au déjeuner on en
apprend un peu plus sur la motivation des indiens pendant la guerre
d’indépendance. Les chefs indépendantistes avaient beau parler de liberté et du
Pays, rien de cela n’intéressait les populations réduites en esclavage. Ils
n’en étaient pas à ce niveau de besoin. Alors on les motiva avec l’étendard de
la Vierge de la Guadeloupe, ça marchait. Les chefs indépendantistes devraient
suivre cet exemple et porter un chandail du Canadien. Même les anglos
voteraient OUI. GO HABS GO.
Notre tournée des
églises nous amène du Templo de San Juan de Dios et au Templo de San Francisco
en passant par celui de Nuestra Segnora de la Salud. La religion c’est sérieux
ici même si un fort mouvement anti clérical était au pouvoir dans les années
30. Trop c’est trop.
Au club de bridge
on en apprend encore sur la faune et la flore locale. Il y aurait environ
14 000 gringos d’enracinés ici, ils vivent en communauté dans ce climat idéal
pour prendre sa retraite.
Beaucoup
d’américains, mais pas tous des Trump-maniaque. Sur la table
d’hospitalité on invite ces derniers à protester. Le mouvement RESIST
TRUMP s’organise, visitez : www. Indivisibleguide.com
D’autres font du
bénévolat. L’organisme : feed the hungry-San Miguel prévoit distribuer un
million de repas aux enfants des villages avoisinants. Il y a de la misère au
Mexique que l’on ne voit pas dans les centres villes historiques.
Il ne nous reste
qu’à aller bouffer et faire nos valises. On ne s’installerait pas ici, nos
enfants et petits-enfants nous manqueraient trop, mais venir pour un long
séjour????
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