lundi 20 février 2017

San Miguel de Allende, le 20 février


Trois choses à faire à San Miguel : visiter des églises, jouer au bridge et bien manger. Dans un climat presque parfait, même si frisquet le matin, c’est la grande vie.

Au déjeuner on en apprend un peu plus sur la motivation des indiens pendant la guerre d’indépendance. Les chefs indépendantistes avaient beau parler de liberté et du Pays, rien de cela n’intéressait les populations réduites en esclavage. Ils n’en étaient pas à ce niveau de besoin. Alors on les motiva avec l’étendard de la Vierge de la Guadeloupe, ça marchait. Les chefs indépendantistes devraient suivre cet exemple et porter un chandail du Canadien. Même les anglos voteraient OUI. GO HABS GO.

Notre tournée des églises nous amène du Templo de San Juan de Dios et au Templo de San Francisco en passant par celui de Nuestra Segnora de la Salud. La religion c’est sérieux ici même si un fort mouvement anti clérical était au pouvoir dans les années 30. Trop c’est trop.

Au club de bridge on en apprend encore sur la faune et la flore locale. Il y aurait environ 14 000 gringos d’enracinés ici, ils vivent en communauté dans ce climat idéal pour prendre sa retraite.
Beaucoup d’américains, mais pas tous des Trump-maniaque. Sur la table d’hospitalité on invite ces derniers à protester. Le mouvement RESIST TRUMP s’organise, visitez : www. Indivisibleguide.com

D’autres font du bénévolat. L’organisme : feed the hungry-San Miguel prévoit distribuer un million de repas aux enfants des villages avoisinants. Il y a de la misère au Mexique que l’on ne voit pas dans les centres villes historiques.

Il ne nous reste qu’à aller bouffer et faire nos valises. On ne s’installerait pas ici, nos enfants et petits-enfants nous manqueraient trop, mais venir pour un long séjour????



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