dimanche 23 octobre 2022

Asuncion, le 23 octobre

C’est dimanche, journée de repos, la journée commence par un petit miracle quand Françoise retrouve un fil électronique qu’elle croyait perdu. Merci St-Jude.

Petite sauce dans la, piscine avant le diner, on commence à avoir nos habitudes à Asuncion et se sera encore au Bolsi, sur la terrasse extérieure cette fois.


Comme à Ottawa jadis, ils roulent les trottoirs la fin de semaine.

Les amateurs d’art naturel seraient ravis par la tenue vestimentaire de certaines paraguayennes. (désolée je n'ai pas de photos mais au Québec disons que l'on ne voit plus de femmes vêtues comme ça.)

Les rues quasi désertes semblent très sécuritaires, beaucoup de présences policières et comme il n’y a pas de pauvres au Paraguay, selon notre guide du circuit del Oro, les gens allongés sur le sol des trottoirs et ceux qui ramassent le contenu des vidanges doivent être des amoureux du macadam et des collectionneurs de canettes.

On peut comprendre pourquoi des Français se réfugient ici, l’Europe étant devenu trop dangereuse. En tout cas c’est le témoignage d’un résident de notre hostel qui est maintenant résident du Paraguay.

Il n’y a vraiment que le cout de la vie qui est problématique, 130 000 pour un bon repas et 15 000 pour une bière. Encore deux générations de Trudeau et le huard et le guarani seront au pair.


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