On part d’Asunción et 7 heures et 400 000 guaranis plus tard, l’autobus militaire nous dépose juste en face de notre caserne. Aucun problème de communication ici si vous parlez la langue de Goethe, au pire celle de Cervantes pourra permettre de survivre.
Pour comprendre, la suite.... morgen,
Quelques photos au travers d'une vitre sale
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