Beaucoup de rues de Gaia sont étroites, escarpées et sinueuses.
Une chance qu’un ancien routier français, accompagné de son épouse et de leur
petit chien dans un panier, est là pour nous dire si ça passe.
Notre premier stop (nous sommes en Europe et faut parler un
peu pointu) sera près des Cais de Gai, d’où nous avons une belle vue sur l’autre
rive. Des francophones on n’en rencontre partout, même des Québécois.
Nous redescendons tout près du ponte de Luiz-I et nous montons au Serra do Piilar et son superbe point de vue, malheureusement le vieux monastère est fazenda.
Belle visite instructive sur l’origine de la maison, sur la vallée du Douro où le vin de Porto est produit, sur sa conservation et murissement à Gaia et sont transport vers Porto d’où il est expédié partout dans le monde.
Un petit cours sur les trois grands types de porto le Blanc,
le Ruby et le Tawny : comment ils sont élaborés et conservés, comment les
garder, comment les boire et comme complément une dégustation de deux types de
cette divine liqueur.
À table, conversation intéressante avec notre guide,
ingénieure électrique qui ne trouve pas d’emploie dans son domaine au Portugal (une
femme !), deux américains (1 ingénieur d’origine indienne), un couple d’ingénieur
chimique du Québec (lui ancien étudiant à Sherbrooke et elle française). Il n’y
a bien que moi qui n’est pas gnégnieur !
Une autre bonne bouffe au resto Mon Lapin complète presque notre journée.