lundi 21 octobre 2024

Porto, le 21 octobre

On poursuit notre tour d’autobus HOP-ON, HOP-OFF par un circuit dans la ville de Gaia. Gaia est pour Porto ce que Lévis est pour Québec. Mais ici pas de polémique de troisième lien, il y a déjà six ponts et les tramways circulent allègrement dans les deux villes et entre elles.

Beaucoup de rues de Gaia sont étroites, escarpées et sinueuses. Une chance qu’un ancien routier français, accompagné de son épouse et de leur petit chien dans un panier, est là pour nous dire si ça passe.

Notre premier stop (nous sommes en Europe et faut parler un peu pointu) sera près des Cais de Gai, d’où nous avons une belle vue sur l’autre rive. Des francophones on n’en rencontre partout, même des Québécois.

Nous redescendons tout près du ponte de Luiz-I et nous montons au Serra do Piilar et son superbe point de vue, malheureusement le vieux monastère est fazenda.


On trouve notre chemin pour l’étage inférieur du pont et avant de le traverser on visite la cave à vin BURMESTER.

Belle visite instructive sur l’origine de la maison, sur la vallée du Douro où le vin de Porto est produit, sur sa conservation et murissement à Gaia et sont transport vers Porto d’où il est expédié partout dans le monde.

Un petit cours sur les trois grands types de porto le Blanc, le Ruby et le Tawny : comment ils sont élaborés et conservés, comment les garder, comment les boire et comme complément une dégustation de deux types de cette divine liqueur.

À table, conversation intéressante avec notre guide, ingénieure électrique qui ne trouve pas d’emploie dans son domaine au Portugal (une femme !), deux américains (1 ingénieur d’origine indienne), un couple d’ingénieur chimique du Québec (lui ancien étudiant à Sherbrooke et elle française). Il n’y a bien que moi qui n’est pas gnégnieur !

Une autre bonne bouffe au resto Mon Lapin complète presque notre journée.


Car il reste l’épique combat de Françoise avec le monde des technologies pour réserver et confirmer notre réservation pour demain à Braga. Qu’il était simple de voyager au temps béni des colonies quand le vent nous amenait sur une côte inconnue et que le laquage des signes et quelques babioles brillantes suffisaient pour réserver gite et couvert.















Tellement de monde et de restaurants même dans les plus petites rues à Porto
Photos

Aucun commentaire: