Dès 11h heure ce dimanche une heure avant la partie, on commence à entendre les cris enthousiasmes venant de la rue et de notre bloc.
Trois jours fous, trois jours ou seule la passion du futbo
existait. Dimanche, en un final inovidable, habia que sufrir,
Un film d’Hollywood ayant inventé un tel scénario aurai fait
rire de lui. Si en 1986 la main de Dieu a conduit l’Argentine à la victoire,
cette fois c’est le pied du dieu Messi.
Son dernier but ne serait pas bon, selon les réseaux sociaux
français, mais Diego était en haut en tenant la main de Dieu.
Gracias à Di Maria, gracias a Dibu, gracias a Dios!!! Somos campeones del Mundo !!!!
Impossible de se rendre à l’obélisque, la foule envahit les
rues avoisinantes. On cherche avec peine un resto ouvert et on finit sur la
Florida.
Lundi on fait nos provisions pour demain, car ce sera une journée fériée.
Mardi on sort pour voir passer la caravena del campeon,
mais elle ne rendra jamais à l’obelisco, des hinchas maniaques sautant des
ponts pour rejoindre leurs héros passant sous eux. Dans tout le pays c’est una
movilization historica.
Photos d'un journal de BA et vidéos |
https://twitter.com/i/status/1605276978046767104
Dans les petites rues!
Toutes les rues débordent de partisans, ceux ne portant pas
un chandail de l’albicéleste ou un drapeau argentin sont l’exception.
Vivre cette Copa Del Mundo ici, fut un grand privilège.
En soirée on assiste au spectacle d’une fête qui
dégénère en émeute. Triste fin d’une belle histoire.
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