En débarquant du train on longue un beau parc pour se rendre chez nos amis. C’est Obama qui le premier vient nous voir.
On salue toute la famille, Ignacio, Griselda, Griselda fille, le petit Pedro et Belen avant de se diriger vers l’église Itati pour la messe de minuit, à 7 heures.
L’évêque vient nous saluer sur le parvis avant d’aller se
préparer pour la cérémonie. Modeste église dans un quartier , mais qui rejoint
nos amis pour la sincérité de ces fidèles. Cet évêque était auparavant dans une
paroisse plus huppée, mais en se plaçant au-devant d’une manifestation pour
éviter les tirs policiers, il déplut à la présidence Cristina. Maintenant dans
cette petite église il vient en aide aux nombreux immigrants dans le besoin en
Argentine.
Même en espagnol, une messe est facile à suivre, certains
chants rejoignent nos souvenirs de jeunesse.
Ensuite, c’est un somptueux réveillon de Noel. Pourrait-il
en être autrement connaissant le sens artistique de Griselda et de ses belles
files, à la table de l’ami intime du sultan-roi de Malaisie. Belle histoire
ancienne ou Ignacio dut choisir entre une vie de jet-set au service d’un prince
joueur de polo et une vie normale de famille.
Puis c’est l’attente de Papa Noel qui doit être pris dans la
tempête faisant rage en Amérique du Nord.? A donde es Papa Noel ?
Mais, tout juste après le coup de minuit on entend les chiens jappent. Tous sauf moi sortent pour voir si c’est enfin lui. Pauvre petit Pedro, je suis le seul à l’avoir vu passer en vitesse dans le foyer de la cheminée.
Mais le petit Pedro se console vite avec la distribution des
cadeaux, Cinq ans c’est l’âge parfait pour croire en Papa Noel.
À deux heures du matin on salue une dernière fois, pour ce
voyage, nos amis qui sont venus nous reconduire à Buenos Aires.
Joyeux Noel |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire