On refait le tour des «estancias
jesuiticas» qui entourent Cordoba.
L’estancia de Caroya fut fondé en 1616 et en 1661 elle fut acquise par le fondateur du collège Monserrat à Cordoba ; parmi les produits agricoles, le vin tenait une bonne place et se retrouvait même sur la table du roi d’Espagne. Ensuite elle servit de fabrique d’armes blanches pendant la guerre d’indépendance, puis à partir de 1876 c’est l’immigration italienne qui se retrouve dans ses murs.
Les 13 km de terre battue
s’oublient devant la beauté de l’église et du cloitre de l’estancia de Santa
Catalina fondée en 1622, les lieux appartiennent toujours aux descendants de la
famille qui en fit l’acquisition lors de l’expulsion des Jésuites du continent,
ils en assurent la survie d’un patrimoine historique unique.
En attente de l’ouverture des lieux, la Rancheria de Santa Catalina nous attendait pour un excellent repas avec des produits du terroir; c’est juste à côté de la «vivendia de los esclavos». Car en bon gestionnaires, les Jésuites connaissaient l’importance d’une machinerie moderne, et avait compris l’importance de la formation du personnel.
Pour rentrer et sortir de Cordoba, qui est une ville de 3 millions, merci à Michel et à la dame du GPS
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