C’est par l’autoroute Che Guevara
que l’on quitte la ville de Rosario, le Che était un enfant de cette ville. On
retrouve Cordoba un dimanche soir et je laisse à Michel le soin de décrire ses
premières impressions.
«Nous quittons Rosario pour
Cordoba. Une petite traite de 400kms. Mais il pleut à boire debout ce qui
ralentira quelque peu la conduite. On
arrive vers 16 heures à Cordoba. On s’installe puis on va souper. On entre
dans quelques églises dont l’église
dominicaine de Sainte –Catherine de Sienne. On arrive durant la messe, plus
précisément la consécration qui dure 15 bonnes minutes accompagnée de chants et
de musiques et de gens qui dansent sur place en récitant les paroles de la
consécration. Le tout se termine par une
ovation et des applaudissements nourris. Pas mal différent de chez nous. La foi
de ces gens est encore très vivante»
Lundi on se retrouve sur la plaza Saint-Martin en plein «cabalgata Brocheriana», si vous voulez des indices pour la traduction, la place était pleine de chevaux et on transportait les cendres du curé Brochero béatifié le 14 septembre 2013 vers son village natal.
En fin d’après-midi, on refait
une visite guidée des vieux immeubles de Cordoba, le cabildo, la cathédrale,
l’église des Jésuites et l’université attenante. Pendant longtemps tous les
diplômés en sortaient avec un doctorat en théologie, tous ne devenaient pas
prêtres, plusieurs présidents de l’Argentine sont passé par là, mais pas le Dr.
Cristina.
:Pendant 5 jours les étudiants devaient défendre leur thèse |
Devant les professeurs |
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