Tout près de notre lieu de rassemblement pour l’autobus de Pise, se trouve la Piazza Grande et la cathédrale de San Francisco fondée par la famille Médicis au XVIe, elle est fermée et ce qu’on voit est une reconstruction d’après-guerre.
Tout près une
toute petite église ouverte datant de 1603 (la fondation de Québec c’est 1608)
et un beau marché local de fruits et légumes.
Juste avant de prendre l’autobus pendant que l’on converse avec une Taiwanaise de L.A. un vendeur africain de bracelets nous répond en français quand Françoise me dit qu’il faut bien qu’il vive. Des francophones il y en a partout. On part enfin pour Pise
Après une quinzaine de minutes de marche on débouche sur la Piazza dei Miracoli. C’est incroyable comment autant de chef d’œuvres architecturaux se retrouvent concentrés sur un seul lieu. La Duomo de Pisa est une des plus belles cathédrales visitée, sa construction commence en 1064 en incorporant des colonnes de granit prises dans une mosquée de Palerme conquis par Pise en 1063.
Malheureusement, on ne peut
visiter le Battistero de San Giovani construit entre 1152 et 1363. Tout en
marbre c’est vraiment époustouflant. Pas le temps non plus de visiter le
Camposanto Monumentale, c’est un cimetière intérieur bâti entre 1278 et 1464.
Les délais de construction étaient à peine plus longs que le délai de grands
travaux au Québec de nos jours.
Et finalement la Tour Penchée commencée en 1178 sur un sol meuble et sablonneux. Ce problème en fit le clocher le plus célèbre au monde.
Cette tour est la plus grande arnaque
touristique du monde, elle est presque droite, comme le prouve cette photo de
nous prise par un couple argentin, que l’on soupçonne être des partisans du
nouveau président argentin Javier Milei.
Ces deux villes de Toscane
méritent un autre séjour. On verra comme disait l’autre….
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