samedi 2 mars 2013

Banos, le 2 mars


Si on ne tient compte que de la distance, une balade au mirador de Bellavista ne permet pas de brûler une partie significative de calories que les restaurants de la ville nous imposent: mais les 3 km (ir y vuelta) ont un dénivelé de près de 300 mètres, et si c'est la pompe qui travaille à l'aller, ce sont les genoux et les orteils qui souffrent au retour.
Il ne veut pas me laisser passer

Reste que la vue sur la ville vaut le coup, la petite bruine qui nous accompagne dans cette marche dans la jungle équatorienne ne fait que la rendre confortable.

On est dans les nuages

Tomates del arbol

Depuis hier on a un problème : « A donde es Mariane», on cherche ce restaurant qui en se fiant aux indications du Routard semble s’être volatilisé, finalement on le trouve bien caché au fond d’un petit passage à deux pas de notre hôtel, ce sera pour un autre soir, car on se rend en Suisse pour finir la journée, encore là trop bon, une autre bonne marche demain sera requise pour équilibrer le compte des calories.
Un petit repos après la marche

1 commentaire:

Lise Do a dit…

À voir la bruine, la terre, les potagers et la jungle, je me dis que les odeurs devaient être très riches aussi pour la terrienne que je suis...

Sans oublier tous les noms de plantes que j'aurais voulu savoir en chemin. Moi c'est pas le Routard que cela m'aurait pris, mais la Flore laurentienne d'un père dominicain born in Equador....