En
direction de l’Acropole on s’arrête dans un charmant petit quartier, Psirri qui
serait presque joli sans les graffitis qui déparent les murs, puis on longe la
rue Ermou qui a une de ses extrémités est un vrai marché aux puces ambulants.
Les curés orthodoxes portent des signes ostentatoires mais n’aiment pas être
photographiés.
Il est
facile de comprendre pourquoi le site de l’Acropole est au cœur de la vie
touristique athénienne, ce que l’on voit date de 500 av J.C. à aujourd’hui, car on ne cesse pas de
construire des ruines, chapeau à ces champions du casse–tête 3D. Inutile de
décrire ces lieux et leur histoire, la documentation abonde; je me contente de
vous recommander une visite hors des périodes de pointe d’été ou en plus de la
foule la température sous un soleil de plomb peut dépasser les 40C, actuellement
à la mi-novembre, c’est parfait par une belle journée ensoleillée.
On
redescend et on passe de l’autre coté par la rue piétonnière Dionnissiou
Aeropagitou, si vous cherchez un pied à terre à Athènes c’est «pas si pire» si
vous parlez espagnol vous pourrez aller prendre un café à l’ambassade d’Espagne
qui sera votre voisin.
Charmant
petit quartier sur le versant nord de l’Acropole, Plaka est parfait pour une
petite bouffe dans une taverne; ici les tavernes sont de petits restaurants
sympathiques ouverts en général toute la journée.
Nous sommes
dans un hôtel qui nous rappelle une des grandes erreurs mathématiques de
l’antiquité: l’hôtel Best Western Pythagoreion. Il est pourtant évident, quand
on cherche son chemin, que de piquer à travers l’hypoténuse est plus long que
faire les deux côtés d’un triangle rectangle.
1000 ans! |
Y a des ruines partout |
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