On devait
se réveiller à Nessebar en Bulgarie, mais c’est la voix du capitaine qui nous
réveille et nous informe que les conditions météorologiques ne permettent pas
que les navettes (tenders) opèrent de façon sécuritaire; alors on se dirige
vers Burgas. Le temps est nuageux et pluvieux, on devra s’en accommoder.
Mayday,
Mayday: nous sommes dans le port de Burgas et rien ne bouge, le remorqueur a
beau soulevé de la vase, rien n’y fait; sommes-nous échouer, devrons nous
appeler la flotte de Poutine pour nous tirer de là? Mais il semble que non, le
capitaine vient de nous informer que nous accosterons bientôt.
La visite
d’une église arménienne et d’une église orthodoxe (1840-1860) et de la gare de
Burgas, en mauvais état comme son matériel roulant, complètent cette visite
imprévue de Burgas.
Photos
Nous sommes
dans un vieux port industriel et un autobus nous amène du quai de débarquement
au terminus maritime. Une grande avenue piétonnière nous amène au centre-ville;
des panneaux historiques nous rappellent la mort du tsar Samuel il y a mille
ans, le 6 octobre 1014. Au tournant du millénaire les gens craignaient le pire,
l’homme n’apprendra jamais, qu’elle sera la crainte en 2999? La Grande Bulgarie
s’étendait alors jusqu’au rive de l’Albanie et comprenait la ville de Belgrade,
Nis, Skopje, Ohrid etc.
Au centre-ville un monument de style
soviétique et un grand parc en rénovation, le terrassement se fait à la pelle.
Photos
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