Lundi, dernière marche dans le centre historique, une chance que je voyage avec une seule ado, les frais de cellulaire, une vraie fortune, 20 000 pour une semaine.
Mardi marche vers un nouveau barrio, dans un restaurant
gastronomique on rencontre les jeunes étudiants en pantalons gris, chemises
blanches, et veston bleu. L’uniforme des collégiens québécois il y a 60 ans. Je
ne reconnais pas beaucoup la physionomie guaranie chez eux.
On découvre en fin, trop tard, une épicerie digne de ce nom.
Mercredi, on quitte notre hostel, Nomada sur la calle
Iturbe. Très bien pour ceux qui aiment le genre auberge de jeunesse. Comme il
fut autrefois propriété d’un français, une partie du staff (parlons français pointu)
sont des bénévoles de France échangeant coucher contre menus services. Bonnes
chances de pratiquer l’espagnol.
C’est 9/11 ici, jour de recensement national. Un brillant
fonctionnaire, probablement photographe dans son temps libre, à réaliser qu’une
photo prise quand les gens bougent est souvent floue, alors aujourd’hui tous
les commerces et tous les transports sont fermés de 5h à 18h. L’aéroport est
ouvert et les bus internationaux arrivent. On y prévoit le chaos
Sans savoir si on finira en prison ou à notre nouvel hôtel,
on prend valises et sacs et on sort à pied.
Une ville morte c’est ça. Un peu surréel. Dix minutes plus
tard, on arrive, OUF!
Autre style d’hôtel, comme nos 5 étoiles d’il y a 50 ans.
Deux portes différentes pour l'ascenseur |
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