On découvre, redécouvre avec plaisir cette belle ville. D’un coté une architecture grandiose et des boutiques de luxe sans nombre, restaurants, épiceries fines, pâtisseries, cafés, bijouteries et de l’autre la misère humaine de ceux qui vivent couchés sur des cartons au bord des rues et subsistent avec les fonds de poubelles.
Les portes de Buenos Aires valent le déplacement, mais
souvent le bronze les ornant fut volé. Difficile de comprendre la situation
économique du pays, le gouvernement tolère, encourage qu’on change nos $100 USD
pour 30000 pesos alors que le cours officiel est presque deux fois moins. La
population fait une fuite en avant avec une consommation effrénée.
Mercredi belle grande marche avec Griselda, la fille de
Griselda. Elle nous amène prendre un café dans un ancien vieux bâtiment
converti en immense relais gastronomique, sur deux étages des dizaines de bars
et petits restos, très sympathique.
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