Santa Maria de Fe, fut fondé en 1647. Si San Ignacio est
tranquille, que dire de Santa Maria. Une église plutôt récente en face d’un beau
parc et une antique casa d’indigenas de la mission Jésuite. Mais c’est samedi
et c’est fermé.
Avec l’aide de Juan Carlos et, du sésame ouvre -toi –‘’somos
de Canada’’ la porte du musée s’ouvre(un des plus riches dans ce domaine). Cinq grandes salles d’art religieux
baroque italien. Au XVII un jésuite, Jose Brasanelli, donna des
cours de sculptures. Il sculptait lui-même un modère réduit et un artiste
prolifique du nom d’Anonymus en fit d’innombrables format géant.
Francoise essai de compétitionner avec cet artiste par le
nombre de photos, mais on retrouve de ces œuvres partout sur la route des
Jésuites.
Les couleurs faites avec des plantes, plus de 350 ans!
Encore une carte du grand Paraguay, les Portenos aiment dire
qu’ils descendent des bateaux, mais c’est d’Asuncion que sont venus les
premiers habitants de Buenos Aires.
Malheureusement, une pluie diluvienne nous accompagne à Santa Rosa de Lima. Pratiquement en costume de plongée Francoise fonce et fait ouvrir la Capilla Nuestra Señora de Loreto.
En plus des œuvres d’Anonymous, les murs sont décorés de fresques du temps des missions. Hélas elles sont en fin de vie, rien n’est éternel.
On profite d’une accalmie pour aller diner chez Victoria,
bonne table de cuisine traditionnelle.
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