Le temps est gris ce matin, la ville semble presque déserte, même le restaurant dont on ne nomme plus le nom est fermé. On monte un escalier qui nous conduit vers la veille ville et on pénètre dans un vieux bâtiment construit en 1295. Après que les murs y furent lavés entre 1952 et 1962 une troublante histoire apparût: le père d’une jeune fille de 12 ans, sachant que sa fille attendait un enfant, et craignant que les sages de la ville ne la mettent à mort, décida de la marier à un vieux veuf de 86 ans qui avait beaucoup d’enfants. La question est, quel est le nom de l’enfant, premier indice: le nom du père de la fille est Joachin, deuxième indice: sa mère est Anne. Vous y êtes?
Vraiment spéciale la visite de cette église orthodoxe, la personne qui vend les billets aurait un PHD sur cette église et nous fait un tour guidé.
Ensuite on passe devant les restes d’un vieux théâtre grec avant de visiter la cathédrale Ste-Sophie datant du onzième siècle, (Construction entre 1036 et 1056). Les fresques murales y sont des plus impressionnantes. Au seizième elle fut transformée en mosquée et paradoxalement l’enduit que les musulmans appliquèrent sur les peintures pour les masquer aida à leur conservation.
On prend un café sur la Bha Cakpa (Via Sacra) le temps que la pluie cesse et en revenant on observe deux beaux cygnes au bord du lac.
16h30, la mer est déchainée, et sur l’avenue Général Tito, on assiste à un rassemblement politique d’un parti de droite, souhaitons qu’il dorme quand même en paix.
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