Ce dimanche matin une autre balade le long du rio, l’eau verdâtre qui sort d’un ruisseau pour se jeter dans le rio s’explique par le fait qu’en Équateur il n’existe à peu près pas de système d’épuration des eaux, alors tout s’en va vers l’Amazone; il n’y aura donc pas de baignade dans le rio Puyo même si certains jeunes y vont.
Pour diner on essaie un volquetero, plat typique du coin, c’est bon. On était dû pour une bonne averse, c’est vers 16 heures que le ciel se déverse après quelques avertissements, nous sommes confortablement à l’abri sur notre balcon, et l’eau glisse sur le dos des perroquets sans sembler les déranger.
Samedi, après une
marche de 50 minutes aller-retour le long du Rio Puyo, on va en ville pour voir
si on n’y offre des tours pour la jungle. Tel que prévue la ville de Puyo est
assez moche et on doit être hors saison car on ne voit rien d’abordable et
d’intéressant. On trouve tout de même un petit resto correct pour casser la
croute. Il y a un jardin d’orchidées près d’ici et on prend un taxi pour s’y
rendre, dès qu’on lâche la grande route on voit bien que la campagne
environnante est très pauvre et que notre chauffeur est un «loco» du volant. On
s’y rend quand même mais c’est «cerrado», la fille du propriétaire se marie
aujourd’hui, comme on ne sait pas vraiment comment on serait revenu de ce trou
perdu on revient avec notre loco national.
On a beau faire le tour des plats du
restaurant de l’hôtel, ils sont tous excellents.
1 commentaire:
Chouette, plein de plantes que je connais.....ici on les appelle des plantes d'intérieur, hi ! hi ! Episcea, Aechmea etc....et on les cultivait dans la serre de l'école, j'en ai eu plusieurs chez moi. Souvenirs, souvenirs ! Saluez-les de ma part !
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