Buenos Aires, le 7 janvier.
On devait être à l’est d’Hispaniola vers minuit, puis on survole le Venezuela, le long Brésil, le Paraguay et vers 11h20 on touche le sol de Buenos Aires. Taxe de bienvenue (75$-pers), passage à l’immigration, aux douanes sans problèmes. Tel que pré arrangé, une voiture nous attend à la sortie et nous voici tout près du centre dans un appartement très correct. Première marche de reconnaissance nous fait voir une ville de type européenne, assez propre ou beaucoup de commerces et restaurants sont fermées en cette fin d’après-midi. Sur notre retour avec notre épicerie chez Carrefour, les restos ouvrent, soit vers 19h00.
Buenos Aires, le 8 janvier.
Ou sommes-nous? Pas en Indes, c’est sûr, les rues sont propres, enfin comme chez nous, pas au Vietnam, on marche sans tracas sur les trottoirs et il n’y as pas de moto (une vue), Pas en Europe de l’Est, c’est plus riche et ils mettent des barricades devant les endroits dangereux, réparations, certes nous sommes dans un pays de haute culture gastronomique; sur une rue piétonnière touristique on rencontre un grand M jaune aux 5 minutes, ça vaut bien un Mc ’café.
S’orienter aves carte et GPS serait facile si on connaissait la différence entre la derecha et la isquierda, finalement on trouve la rue Florida, rue piétonnière pour touristes voulant dépenser leurs pesos ou leurs $US. On tombe sur la plazza Mayo, le cœur de l’Argentine historique et politique. Dans la cathédrale on se pense en Italie et on remarque qu’il y a moins de monde pour visiter le maosoleo del general Saint-Martin que pour la relique de la dent du Bouddha à Yangoon. On passe devant la banco Frances et la banco de la nacion Argentina (beaux édifices) avant de contourner la casa de Gobierno toute rose et de retomber sur la plaza. S’y tient une manifestation semi permanente des vétérans de la guerre des Malouines, les vétérans semblent avoir été oubliés, comment puis-je être sympathique à leur cause quand le fils de la reine bien aimée de notre premier ministre a risqué sa vie pour ramener ces îles de l’Atlantique Sud sous notre couronne.
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